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»Dancefloor System« by Didier Logan
Ouvrez grand les oreilles, libérez vos neurones, oubliez tout. “Dancefloor system” est un détonnant mélange de jungle, breakbeat, hip hop et ambiant. La piste est urbaine, les flows accrocheurs, les rythmes entêtants . Vous n’avez qu’à vous laisser porter par ce premier opus de Didier Logan pour zeste. Dancefloor system.
Ouvrez grand les oreilles, libérez vos neurones, oubliez tout. “Dancefloor system” est un détonnant mélange de jungle, breakbeat, hip hop et ambiant. La piste est urbaine, les flows accrocheurs, les rythmes entêtants . Vous n’avez qu’à vous laisser porter par ce premier opus de Didier Logan pour zeste. Dancefloor system.
1- Big Basses nous emmène en douceur vers les sons détachés et entraînants du breakbeat, avec une ligne de fond mélodieuse et douce. Une bonne entrée en matière pour faire ses premiers pas sur la « piste ».
2- Le flow mené de main de maître par John Saadik plante le décor. Le son est urbain, la jungle aussi. John Saadik triture les mots, torture les idées, passe à l’action en deux mots : Lyrical terrorist.
3- Upside down : L’appel du dancefloor plus que jamais présent. L’air jungle est électrique et obsédant. L’appel vient de loin et vous retourne l’âme au passage. Suivez la route.
4- Soul Garage : Une plage de repos avant le déluge. La continuité des sons ambiant de ce titre vous reposera les méninges. Mais la petite voix « club » est toujours là, prête à jaillir.
5- Melo est une petite bombe breakbeat / jungle entrecoupée de passades aériennes, toujours menées par un flow hip hop percutant. Melo vous fait danser le cerveau, que vous le vouliez ou non.
6- Step into the bass : Le plongeon dans les profondeurs complexes des basses. On n’a pas envie de remonter, juste de rester en apnée et de flotter, oreilles vers le bass. 7- Interlude beat box : la récréation vocale du system. C’est happy, efficace et rien que pour ça, on se le repasse en boucle.
8- Chino. L’alliance ambiant / breakbeat réussie pour ce titre quasi intimiste. Une introspection capable de faire jaillir les sentiments du plus sadique des Mc’s.
9- You be mine [part 1]: L’envolée aigue d’un « you be mine / Tu seras à moi » servie sur un breakbeat marqué.
10- You be mine [part 2]: 50 secondes de rêve et de douceur.
11- Dancefloor system. Au milieu de la piste, rythme rapide, saccadé. Vous êtes emportés, happés, pris en otage par ce titre obsédant tant il vous donne l’énergie night-club-tripping !
12- Atmosphère. La continuité infinie de sons tribaux, simples. Ils sont partout, peut être même que vous les respirez.
13- Virus musical. Un final en forme d’obsession, un titre qui clôture en beauté l’album de Didier Logan. Les voix s’affolent, se mêlent, les sons sont torturés, puis assagis. C’est la fin de la nuit . La fin d’une nuit passée sur une piste de danse.
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